The Return

D.R choix 2

 

Cela fait plus d’une semaine que je n’avais pas repris la plume (le clavier) pour partager mes sentiments et cela malgré la reprise de la pré-saison NBA et des grands retours tant attendus.

Le premier exploit de la saison vient des Lakers qui ont réussi à gagner deux de leurs trois premiers matchs, c’est très certainement le meilleur bilan en terme de pourcentage de victoire que connaîtront les Lakers cette saison. Il faut cependant noter que Kobe se sent depuis le début de sa rééducation en avance sur son planning mais il n’est toujours pas en tenu alors qu’il prévoyait revenir pour le début de saison. Il lui reste vingt jours pour enfiler les baskets et le short pour montrer qu’il est bel et bien en avance. Personnellement, je prévois un retour de sa part que pour janvier. A lui de me faire mentir.

Autre actualité, Philadelphie a gagné (vous verrez ces mots associés très peu de fois cette saison) son premier match de pré-saison… Face au Bilbao Basket… 104 – 106. Pas de quoi vraiment rassurer les fans des Sixers, d’autant qu’ils se sont fait balayer par OKC, hier soir, 99 – 103.

Mais la vraie actualité de ce début de saison c’est bien entendu le retour, après 525 loin des parquets, de Derrick Rose. Et le moins que l’on puisse dire c’est que… “ROSE IS BACK”. Rassurant lors son premier match, il confirme sa bonne santé dans le second. Toujours aussi vif, rapide, incisif et percutant. Il est incontestablement la meilleure recrue que les Bulls pouvaient faire cet été. Si Rose continue et retrouve son niveau de 2011 lorsqu’il a été sacré MVP, le Heat a du soucis à se faire. Car, certes Indiana sera bien présent à la lutte pour remporter la Conférence Est mais les Bulls pourra compter (si tout va bien) sur son Franchise Player et se mêler aux festivités. Il faudra sans aucun doute compter sur Rose et les siens pour venir déranger le Champion en titre… On continue de toucher du bois pour que rien ne lui arrive.

Pour le plaisir de revoir Derrick Rose refaire du Derrick Rose, un coast-to-coast dont il a le secret. A 200 à l’heure, un joli lay-up et une belle faute à l’arrivée.  

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